Dans la multitude du vivant, l’être humain n’est probablement pas l’espèce dominante qu’il croit. De nombreuses autres espèces sont plus abondantes, plus massives, plus anciennes, plus adaptables, plus longévives ou plus puissantes.
Dans la multitude du vivant, l’être humain n’est probablement pas l’espèce dominante qu’il croit. De nombreuses autres espèces sont plus abondantes, plus massives, plus anciennes, plus adaptables, plus longévives ou plus puissantes.